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Aventures en Bordeciel
6 janvier 2012

4 - Une aide inattendue

Préambule : Pour ceux qui sont interessés par l'histoire des Elders Scrolls, j'ai inséré à la fin de ce chapitre, séparé par une ligne, une partie "historique". Elle s'intégre parfaitement dans l'histoire mais concerne des livres que lira Kalista au fil du jeu, avec des liens vers le site de la Grande Bibliothèque de Tamriel.

Middas 19 Vifazur 4E201

L'air frais me fouetta le visage à la sortie de la grotte. J'étais à une centaine de mètres du sol, sur des rochers à flanc de montagnes. Superbe, il fallait maintenant que je trouve moyen de descendre sans me tuer!

En plus, il faisait nuit. Je commençai à descendre doucement en m'accrochant à la roche gelée et en pestant. A force de patience j'atteignis le sol. Je regardai autour de moi. Le lac Ilinalta était sur ma droite et la rivière blanche coulait devant moi. Donc, Rivebois était sur ma gauche. Je m'engageai sur la rive du torrent. Quelques loups hurlaient à la lune prêt de la falaise mais ils ne s'approchèrent pas.

Au détour d'une colline, j'aperçus une petite masure. Une faible lueur en provenait, comme une bougie brillant à l'intérieur. Je m'approchai prudemment mais les armes rangées pour ne pas effrayer l'éventuel occupant.

"Il y a quelqu'un?" demandai-je.

"Oh, ne dérangez pas une vieille femme qui ne veut de mal à personne" me répondis une voix un peu faible.

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Je fis le tour de la cabane et tombai sur une femme encapuchonné.

"Bonsoir, je m'apelle Anisse et voici ma demeure. Je peux faire quelque chose pour vous?"

"Oh non rien à vrai dire, je me dirigeais vers Rivebois et j'ai vu votre maison."

"Je ne suis qu'une ermite, rien de bien interessant pour une aventurière en goguette" grinça t-elle d'une voix chevrotante. Elle me laissa comme une impression de malaise alors qu'elle me tournait le dos et entrait dans sa maison. Je décidai ne pas l'ennuyer plus longtemps et repris ma route.

J'aperçus peu de temps après les lumières de Rivebois de l'autre coté du torrent. Je respirai un peu plus légérement. Le poids de mon sac à dos, alourdit par tout mon butin, me sciait l'épaule et j'avais hâte de me reposer dans un lit.

67Je courus sur le pont qui menait au village. Les gardes, en m'entendant approcher, se tinrent prêt à tout mais baissèrent leur armes en me voyant arriver les mains levées en signe de paix. Il devait être fort tard, je n'allais pas me présenter à cette heure si chez les Valerius. Aussi, je m'arrétai à l'auberge du géant endormi et poussai la porte. A l'intérieur, une douce chaleur m'attendait.

68Comme je m'en doutais, il n'y avait personne pour m'accueillir, les aubergistes devaient dormir. Silencieusement, je m'installai sur un banc et ouvris mon sac où je péchai un bon morceau de pain et de l'Eidar. Je me rempli le ventre avec ardeur, je ne me rappelais plus la date de mon dernier repas! J'avisai une cruche sur la table, la déboucha et m'en servis une rasade dans un gobelet.

J'entendis une porte s'ouvrir derrière moi. C'était l'aubergiste qui émergeait l'air un peu endormi, d'une des chambres.

"Oh, j'ai déjà une cliente! Vous êtes bien matinale!" claironna t-il de sa voix bourrue.

"A vrai dire, je n'ai pas dormi de la nuit et je venais chercher une chambre mais il n'y avait personne. Alors je me suis permis de m'installer et de me restaurer avec mes propres victuailles et avec ce pichet d'hydromel que je vous réglerai."

L'aubergiste eut l'air contris de ne pas avoir été là pour m'accueillir.

"Vous auriez du vous installer, on aurait régler les formalités plus tard ma petite dame!! Pour la peine, le vin c'est pour moi! Tenez, suivez moi et prenez cette chambre là!" Il ouvrit la porte d'une pièce où était disposé un lit, une armoire et une commode. "Installez vous confortablement, reposez vous, j'empêcherais le barde de vous déranger avec ses chants!"

Je lui souris, l'air las et refermai la porte derrière lui. Je jetai dans un coin mes affaires, non sans dissimuler la griffe et la pierre de dragon sous le lit, avec une dague, au cas où... Puis je sombrai dans un sommeil de plomb, les bottes encores aux pieds.

Ma nuit ne fut pas très longue car le va et vient inévitable de l'auberge me dérangea un peu, et surtout les volailles à l'extérieur qui saluaient le soleil... Mais cela me fit du bien.

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Je rassemblai mes affaires et sortis de la chambre.

"Quelle heure est il?" demandai-je à l'aubergiste.

"Aux alentours de midi madame, vous voulez manger un morceau?"

"Volontiers...."

"Orgnar, pour vot' service. J'ai du saumon fumé et cuit, ça vous tente, avec quelques poireaux grillé et des pommes de terres au four?"

"Ce sera parfait." J'allais m'asseoir sur un chaise prèsdu feu et y réchauffai mes mains. Le barde en me voyant, adressa un signe de tête à Orgnar et empoigna son instrument. Il se mit à chanter. Ce n'était pas désagréable. Orgnar vint me servir, le saumon était tout bonnement délicieux et je n'en laissai pas une miette. J'allais régler ma nuit et mon repas puis m'approchai du barde.

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"Bonjour, je voulais vous remercier pour le chant" dis-je en lui tendant un septim.

"Merci madame, mon nom est Sven." Il semblait vouloir me demander quelque chose mais ne pas savoir comment s'y prendre.

"Je peux quelque chose pour vous?" hasardai-je. Son visage s'éclaira.

"Oh oui! Si c'est pas trop vous demandez, vous pourriez remettre cette lettre à Camillia? Je l'aime, elle le sait, mais me fait tourner en bourrique en me mettant en concurrence avec cet elfe des bois, ce sauvage sans âme, Faëndal! Avec cette lettre, peut être que cela la convaincra de faire son choix..."

Je souris intérieurement. Même dans les petits villages, les intrigues avaient lieu.

"D'accord, je vais lui remettre votre lettre."

"Oh, merci beaucoup!"

Je sortis. Il faisait très gris aujourd'hui. Le ciel était plombé par des nuages lourds de pluie ou de neige. J'aurais de la chance si je ne me faisais pas mouiller! Je me dirigeai vers le marché de Rivebois, bien décidé à rendre la griffe à la famille Valerius et au passage à donner la lettre de Sven.

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C'est alors que je croisais l'elfe honnis de Sven, Faëndal. Il portait un lourd chargement de buche et revenait de la scierie. Au moment où je passais à coté de lui, une bûche tomba et me manqua de peu, uniquement parce que je fis un bond de coté pour l'éviter.

"Oh! Je suis désolé Ma dame!" s'écria t-il aussitôt en posant l'ensemble de son chargement. "Vous n'êtes pas blessée?"

"Non.... non ça va! Il faut dire que vous étiez lourdement chargé! Étais-ce la peine d'en prendre autant d'un coup!?" lui fis-je remarquer non sans une certaine humeur. Il prit un air contrit et baissa les yeux. Je m'en voulu aussitôt. Avais-je besoin de le houspiller alors qu'il gagnait durement sa vie? La vie ne devait d'ailleurs pas être facile pour un Bosmer au milieu de tout ces nordiques.

"Tenez, je vais vous aider à les rassembler" dis-je subitement radoucie. Il me sourit. Une fois le tas bien empilé et en équilibre, je me retournai vers le marché de Rivebois.

"Vous allez chez les Valerius?" me demanda t-il dans mon dos. Je fis volte-face, persuadé qu'il allait me parler de Camillia lui aussi!

"Pourriez vous donner cette lettre à Camillia, et dire qu'elle est de la part de Sven?" me demanda t-il, les yeux baissés et l'air gêné. Cela devenait intéressant!

"Hum... Oui pourquoi pas, je lui donnerais" dis-je en prenant la lettre.

"Merci, merci beaucoup" et il partit rapidement vers le centre du village. Discrètement, j'ouvris la lettre de Faëndal. Je du me retenir de rire en la lisant. L'elfe avait imaginer un stratagème pour que le coeur de Camillia penche vers lui et il jouait le rôle de Sven en incarnant un véritable macho peu enclin au romantisme. Ce n'était vraiment pas sympa car Sven m'avait paru on ne peut plus charmant. En plus, une impériale avec un nordique, cela était plus destiné à réussir qu'une impériale avec un elfe des bois...

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J'entrai au marché. Il n'y avait que Lucan. Je sortis la griffe de mon sac.

"Oh!!!!!!!" Il poussa un véritable cri de joie. "Vous l'avez retrouvée!!!! Oh merci, merci beaucoup!!!" Ses cris alertèrent Camillia qui descendit quatre à quatre les marches de leur demeure. Je levais une main apaisante en voyant le visage décomposé de Camillia qui me sourit en me reconnaissant.

"Ca alors, nous avons bien fait de vous demander de nous aider...." murmura t-elle en contemplant la griffe dans les mains de son frère.

Lucan se confondit en remerciement et me remit en récompense de 400 septims! En ouvrant la bourse j'ouvris des yeux ronds mais il me sourit et fit signe de la main que ce n'était rien...

Je commerçais un peu avec lui ensuite, j'avais accumulé pas mal de butin et je vendis tout pour un bon prix. Je pense qu'il n'osa d'ailleurs rien me refuser, même si il n'était pas sur de tout vendre par la suite!

Puis je me tournai vers Camillia.

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"J'ai quelque chose pour vous Camillia" je sortis les deux lettres de ma poche, jetais un bref coup d'oeil dedans pour ne pas me tromper. "Sven m'a remis cette lettre pour vous. Je crois qu'il est très amoureux vous savez.." Elle rougit comme une écolière en prenant la lettre. "Et.... Faëndal m'avait remis celle-ci pour vous en me demandant de dire qu'elle était de la part de Sven. Ça n'est pas la peine que vous la lisiez, il est un peu aigri je crois de voir le succès du nordique à vos yeux..." Elle me prit tout de même d'autorité le papier.

"Merci. Je vais lire ça tranquillement." Elle s'enfuit dans la pièce du haut.

Mon travail à Rivebois était terminé, j'allais pouvoir retourner donner la pierre de Dragon à Farengar à Blancherive. Je sortis et constatai que le temps ne s'était pas amélioré et était même encore plus menaçant.

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Je tombais litteralement sur Sven qui arrivait en courant, habillé de pied en cape pour le combat.

"Vous avez donné ma lettre à Camillia?"

"Oui, bien sur, elle a eut l'air très touchée! Qu'est ce que c'est que cet accoutrement" répondis-je en désignant son armure.

"Vous êtes une aventurière n'est ce pas? Je voudrais me mettre à votre service pour un moment. Vous avez été bonne avec moi, et j'ai besoin d'argent si je veux un jour pouvoir demander dignement la main de Camillia."

Alors ça pour une surprise! J'étais plutôt une personne solitaire, capable de me débrouiller seule. Mais après tout, un peu d'aide n'était pas de refus dans ces terres sauvages. Les combats au Tertre des Chutes Tourmentées avaient été rudes et une épée de plus n'aurait alors pas été de refus.

"Tu sais que c'est dangereux. Je suis engagé dans une aventure qui, je le crois bien, concerne tout Bordeciel. Tu pourrais mourir à mes cotés et ne jamais pouvoir te marier avec Camillia?" le prévins-je l'air sévère. Il se renfrogna mais je vis dans ses prunelles brûler la soif d'aventure.

"Je sais tout cela. Je sais me battre, tirer à l'arc et me battre à l'épée. Orgmar m'a dit que vous étiez une puissante magicienne au service du Jarl de Blancherive. Je suis sur que mon épée pourrait vous servir."

Je lui tendis alors la main, il me la serra, visiblement ravi!

"Mon arc, mon épée et mon honneur sont à votre service noble dame..." et il s'arréta penaud car il ne m'avait pas encore demandé mon nom.

"Appelle moi Kalista, Sven. Je suis en effet mage, mais je sais me servir d'une épée et porter une armure de cuir. Protège toi des coups car je n'ai pas encore appris de sort me permettant de soigner autrui, uniquement ma petite personne. Je pratique comme passe-temps l'alchimie et j'aimerai bien apprendre à forger et enchanter des armes et armures."

Sven eut l'air impressionné.

"Si vous voulez forger, je connais une mine pas loin qui renferme des filon de fer. Mais par contre, aux dernières nouvelles, on ne pouvait plus l'exploiter car des brigands en avait pris possession..." m'informa Sven.

"C'est une bonne idée. Et puis, chasser ces brigands nous permettra de nous rôder en combat en duo, qu'est ce que tu en dis?" lui répondis-je pressée d'en découdre mais surtout de ramasser de quoi faire des armes et des armures.

Il me sourit puis m'indiqua la direction de la mine de Rougebraise. Nous sortîmes du village et empruntâmes un sentier à demi effacé par les eaux qui dévalaient de la montagne en temps de pluie.

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Au détour du sentier, je sentis les relents de fumée d'un feu de camp. Je fis signe à Sven d'avancer discrètement et nous nous approchâmes aussi prêt que possible. Un brigand vêtu d'une armure de cuir était nonchalamment appuyé aux piliers de soutènement de la mine. Je préparai un sort de flamme et lui envoyai avant même qu'il ne se rendit compte de notre présence. Le combat fut rapide. Sven lui décocha une flêche en plein torse et je l'achevai avec ma hache.

Nous pénétrâmes dans la mine. L'atmosphère était lourde d'humidité, des champignons poussaient ça et là sur les murs et le sol et des racines pendaient du plafond, se prenant dans nos cheveux. Des torches installées à intervale réguliers dans des supports éclairaient notre route.

J'entendis des voix plus bas dans les galeries. La pente nous mena à une vaste salle emplie d'un petit lac soutterrain et de tout un arrangement en poutre de bois. J'aperçus un pont levis relevé qui menait vers une autre ouverture et on avait ménagé un campement de fortune sur la rive du petit lac. Deux bandits discutaient mais cessèrent immédiatement en nous entendant approcher. Le combat ne fut pas beaucoup plus difficile que le premier à l'extérieur. Je dois dire que j'étais satisfaite de l'aide de Sven.

"Tu te débrouille bien Sven, j'ai bien fait d'accepter ton aide mon ami" je le vit légèrement rosir à la lueur des torches et il reprit plus fermement son arc en main.

Le bruit du combat avait alerté d'autres bandits et j'entendis des voix étouffés de l'autre coté du pont levis. Nous explorâmes rapidement les alentours pour finalement trouver un levier qui permettait d'actionner le mécanisme.

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Aussitôt deux hommes foncèrent sur nous les armes levées. Le fracas du combat emplit l'air moite de la grotte mais ils périrent sous nos coups. Nous découvrîmes alors un peu plus loin dans les tunnels une forge clandestine. Il restait 3 ou 4 brigands que nous occirent non sans mal car les bougres nous tiraient à l'arc depuis les passerelles! Sven prit une méchante flêche dans l'épaule et fut hors de combat le temps que j'achève les survivants à grand renfort de flammed magiqued. J'accourus auprès de lui. Il était tombé au sol et tentait vainement d'arracher la flêche qui le transperçait.

"Tiens, prends cette potion et laisse moi casser la flêche. Ca va faire mal" le prévins-je en cassant la hampe de la flêche et en la faisant doucement glissée  hors de son épaule. Sven grimaça mais ne dit rien, déboucha la potion de soin que je lui avais donnée et la but d'un trait. Je regardais les effets de la magie opérer. Ses plaies se réfermaient presque à vue d'oeil. Il se releva.

"Merci Kalista. C'était un rude combat n'est ce pas! Mais nous les avons eut!" Je lui sourit, et me retint de dire qu'il avait failli y laisser sa peau, il s'en était bien rendu compte tout seul...

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Une fois sur que la grotte était débarassée de tous ses occupants, nous nous mîmes en quête d'une pioche pour creuser les filons qui emergeaient des murs et du sol. Cela pris pas mal de temps pour venir à bout des filons mais quand j'estimai que nous avions assez de matière première, nous quittâmes la grotte par une entrée secondaire. Dommage de ne pas l'avoir repérée avant, nous aurions ainsi pu prendre les brigands par surprise.

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Tout en retournant à Rivebois, je réfléchissais à Sven. Il m'avait été d'une précieuse aide lors des combats, détournant l'attention des assaillants et décochant des flèches mortelles. Cependant, il avait bien failli mourir et cela m'avait bouleversé quand je l'avais vu a demi-mort sur le sol. Ma conscience me disait qu'entrainerquelqu'un dans mes aventures dangereuses n'était pas une bonne idée et ma raison me disait de l'autre coté que cela augmentait mes chances personnelles de survie...

Arrivé à Rivebois, je le mis devant le fait accompli.

"Sven, je vais maintenant partir pour Blancherive. Je dois remettre au Jarl le fruit de mes recherches dans le Tertre. Cependant, ta vie est ici, avec Camillia. Je te laisse le butin que nous avons ramassé sur les brigands dans la grotte de Rougebraise, tu pourras t'en servir pour te constituer un pactole pour l'épouser. La vie d'aventurier est dangereuse, tu es barde, tu as un métier, ne crois-tu pas qu'il serait préférable que nos routes se séparent ici?"

Ma diatribe l'avait ébranlée. Il me regardait de ses grands yeux bleus, l'air penaud et triste.

"J'ai adoré chasser ses bandits avec vous Kalista... mais vous avez sans doute raison. Quand j'ai frôlé la mort dans la mine, j'ai pensé que je ne me marierais jamais avec Camillia et mon coeur s'est serré comme si il allait exploser... Sachez que mon épée et mon arc seront toujours à votre service si vous revenez me chercher!! Je serais à l'auberge du Géant Endormi, à conter notre fantastique aventure à qui voudra bien l'entendre!"


Cette aventure m'avait fatiguée et je passai le reste de la soirée à lire à l'auberge. J'entamai "Le livre de l'enfant de dragon" écrit par le prior Emelene Madrine en 3E360.

2012-01-06_00002


D'après ce que j'en compris, c'était Sainte Alessia la première qui obtenue le titre d'enfant de dragon quand Akatosh lui même la bénit pour aider les Hommes. Les descendants d'Alessia, possédant le sang de dragon, devrait garder fermé les portes d'Oblivion pour je cite "barrer la route de Daedras, de morts-vivants et d'Ayleids". S'ensuivait une glose sur la question de savoir si l'on est capable d'allumer les feux de dragons parce qu'on porte l'amulette des rois ou parce qu'on possède le sang de dragon, bénédication d'Akatosh... L'auteur indiquait ensuite qu'il peut y avoir apparemment en même temps plusieurs enfants de dragon : l'empereur et son héritier tout d'abord. 

Ensuite, cela devient plus interessant, l'auteur parle de héros nordiques possédant le sang de dragon et capable de tuer des dragons et de voler leur pouvoir une fois ceux ci tués. C'est d'ailleurs là que j'appris que les Lames, gardes personnels des empereurs de Cyrodiil, auraient eux mêmes été enfants de dragons!

Puis l'auteur terminait par une prophétie sur la réapparation d'un enfant de dragon capable de sauver le monde...

Ces lectures étaient fortes interessantes mais je tombais de sommeil. Demain, un autre jour m'attendait, fait de cavalcades vers Blancherive et de récompense, pour sur.

Pour me détendre, je parcouru rapidement un autre livre, "emprunté" chez Alvor : "Blancherive : le guide du gentilhomme" par Mikael le barde. Je ris toute seule à sa lecture car, sous couvert de nous faire visiter les établissements de Blancherive, il était évident à la lecture de ce livre que Mikael recherchait activement une épouse parmi les femmes célibataires de Blancherive. Cette lecture revigorante et drôle me permit de me coucher sereine et prête pour le lendemain.

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Commentaires
A
On dirait que l'Elfe Faendal a sa hache qui traverses ses petits bois. Lol !<br /> <br /> Moi aussi, je me suis pris (aussi à Rivebois) un Garde de Blancherive qui a son bouclier qui lui traverse la cuisse (visible dans mon récit RP, dernière capture d'écran).<br /> <br /> <br /> <br /> Sinon, j'ai bien aimé le passage mentionnant les livres lus à la fin.<br /> <br /> Pour la séparation des compagnons, j'aurai bien cru que Sven aurait tenu à suivre Kalista à Blancherive.
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